J'entends l'argument selon lequel nous devons attendre l'avis du Conseil d'État mais j'ose espérer que si la juridiction administrative explique que 2 500 euros constituent une somme modique, nous aurons une réponse à la hauteur. Pour n'importe quel jeune, de n'importe quel pays, cette somme ne peut représenter un droit d'inscription « modique ».