Mes amendements II-CF683 et II-CF682 vont dans le même sens : il faut accompagner les petites communes, qui ont le moins de moyens, dans la mise en oeuvre d'une restauration collective plus durable, qu'il s'agisse des restaurants scolaires, des maisons de retraite ou de tous les autres restaurants collectifs. L'amendement II-CF683 est très similaire à celui qu'a présenté notre collègue Garot ; il s'en distingue uniquement par la définition d'un mode opératoire, à savoir d'appels à projets par les DRAAF. Je retire mes deux amendements au profit de son amendement II-CF294, dans la mesure où ils partagent une ambition commune : concrétiser la transition alimentaire dans la restauration collective, par la mise à disposition de moyens ciblés – c'est là que réside le progrès par rapport à ce que nous avions présenté l'année dernière. Tout en saluant le travail de la Fondation Nicolas Hulot pour la nature et l'Homme et du réseau Restau'co, je dois admettre que nos propositions n'étaient sans doute pas assez ciblées en 2018 ; elles sont à présent beaucoup plus efficaces.