La question était bien celle de la mixité tout au long du parcours. J'ai pour mémoire le témoignage d'une femme victime qui disait avoir un « déclic » quand elle a été prise en charge par une gendarme. Elle s'est alors permis d'autres confidences. C'est vraiment sur l'ensemble du parcours qu'il faut assurer, comme vous le disiez, une certaine mixité pour assurer un meilleur accompagnement.