J'ai conscience que le prélèvement des crédits sur le budget de la prévention des risques n'est pas nécessairement la meilleure solution, mais j'en profite pour rappeler que les AASQA interviennent également dans le cas d'accidents comme celui de Lubrizol. Atmo Normandie a effectué, en l'occurrence, un travail remarquable – et nous allons l'auditionner dans le cadre de la mission d'information que la Conférence des Présidents de l'Assemblée a décidé de créer.
J'accepte donc de retirer mon amendement pour le retravailler, mais pensons-y, car il ne sert à rien de se gargariser de grands discours sur la qualité de l'air si l'on n'est même pas capable de se donner les moyens de surveiller correctement les actions que nous menons en la matière.