Je maintiens l'amendement no 234 , ne serait-ce que parce que je n'en suis pas le premier signataire.
Je voudrais en outre profiter de cette occasion pour rappeler que, de tout temps, l'humanité a avancé sur la base de progrès technologiques : ce fut le cas au paléolithique, au néolithique, pendant la première puis la deuxième révolution industrielle, et cela nous a toujours permis de devenir plus nombreux, et moins pauvres – à défaut de pouvoir dire « plus riches ».
Nous faisons aujourd'hui face à une situation dont la gravité nous impose d'être présents au rendez-vous et d'engager dès à présent une recherche massive dans tous les domaines touchant à la transition énergétique. Or nous sommes déjà en retard. Il faut donc y aller franchement, et pousser la recherche en matière de matériel, de processus, d'intelligence économique, d'intelligence des objets, etc. , dans tous les domaines. Ce n'est pas une option, c'est une obligation.