Je pourrais reprendre à mon compte tout ce que vient de dire Mme Dubié, qui a très bien expliqué la situation.
Madame la ministre, vous avez dit tout à l'heure, à juste titre, qu'il ne fallait pas graduer la douleur suivant la maladie. Or les victimes de la maladie de Lyme ont le sentiment d'être complètement occultées, en raison des problèmes de diagnostic et parce qu'au sein de la communauté médicale, les médecins ne sont pas d'accord entre eux. Nous parvenons tous à la conclusion qu'il manque des moyens permettant de diagnostiquer correctement la maladie et de bien accompagner les victimes.
C'est la raison pour laquelle nous demandons que des sommes supplémentaires soient fléchées en direction de la recherche sur cette maladie, qui touche un nombre croissant de personnes, principalement dans l'est de la France, et commence à se propager sur tout le territoire national.