Cela ne peut pas continuer. Vous videz les villes moyennes de leurs étudiants, de leurs forces vives, qui n'ont qu'une envie, celle de continuer à étudier dans leur ville parce qu'ils y sont attachés et parce que c'est aussi plus simple, d'un point de vue économique, de rester dans leur univers familial. Or on brise tous leurs espoirs : ils savent bien que s'ils n'étudient pas dans l'université de la ville métropole, ils perdent toutes leurs chances.
Vous avez compris que mes deux amendements sont des amendements d'appel mais, encore une fois, je tiens à appeler votre attention sur ce sujet extrêmement important pour nos villes moyennes.