Ainsi, nous nous sommes mis d'accord sur un certain nombre de points. Nous constatons par exemple que, tant que la filière forêt-bois sera à ce point divisée et désunie que ses membres ne s'adressent plus la parole et, vous me pardonnerez l'expression, se tirent la bourre, nous n'y arriverons pas. Il ne s'agit pas de déclarations de tribune à l'Assemblée nationale, mais du fruit de discussions de travail, les pieds dans la terre et les bottes dans la forêt. Je veux que nous réorganisions toute la filière.
Comme le disait le président Mélenchon, il n'est plus tolérable que le bois français parte pour la Slovénie et nous revienne sous forme de meubles. Pourquoi en sommes-nous là ? Parce que la filière française est incapable de répondre aux défis qui lui sont lancés.