Je persiste, signe et maintiens mon amendement. Je voudrais en effet mettre la question que j'ai soulevée en regard de l'annonce de la France qui, lors du dernier sommet du G7 à Biarritz, a décidé de contribuer au Fonds vert pour le climat à hauteur de 1,5 milliard d'euros : il faudra dire d'où proviendra ce financement, alors que l'on est incapable de trouver 150 à 200 millions d'euros pour la forêt française.
Je souhaite ensuite relayer une proposition de la profession forestière, qui avait été avancée par notre collègue Charles de Courson en commission des finances : pourquoi ne pas rendre les forêts françaises certifiées éligibles à la bourse du carbone ? Il s'agit là d'un vrai débat.