Comme M. Potier l'a indiqué, ces amendements sont des amendements d'appel : l'enjeu ne porte pas, en l'espèce, sur les 15 ou 25 millions d'euros demandés. Je souhaite rappeler plusieurs éléments.
L'ONF est en grande souffrance depuis des années. Jusqu'à l'année dernière, sa gouvernance connaissait une crise grave, avec par exemple des organisations syndicales ne siégeant plus au conseil d'administration. Nous avons pris plusieurs décisions. Un directeur par intérim a ramené de l'ordre dans l'établissement, et un directeur général sera nommé dans les heures ou les jours à venir, avec un objectif très précis.
Je l'ai dit tout à l'heure : l'ONF est et doit rester un office public.