Monsieur Chassaigne, je sais que ce n'est pas votre cas, mais je ne voudrais pas que nous sombrions dans l'« administration-bashing ». J'ai confiance en la DGAL et dans les quatre-vingts fonctionnaires qui font ce travail. Pour accompagner le Brexit, nous finançons l'ouverture de 340 postes de plus, répartis entre le budget de l'année dernière et celui de cette année.