Cette pratique est difficilement compréhensible : ainsi, l'année dernière, j'avais moi-même déposé un amendement destiné à abonder le plan France très haut débit qui avait, à cette époque, été jugé recevable.
Mon intervention, monsieur le président, s'adressait plutôt au président Woerth, dont je regrette qu'il ne soit pas présent ce matin. J'attends une explication claire de la commission des finances, afin de comprendre ces asymétries d'information entre les commissions mais aussi, je dois le signaler, entre les groupes politiques.