À titre personnel, en tant que députée parisienne, je partage évidemment vos inquiétudes, monsieur Rupin. Nous avons tous en mémoire le drame de Notre-Dame de Paris. L'accompagnement des commerçants des alentours est une des priorités de la majorité.
Sur le fond, même si je suis très attachée à ces questions, je ne pense pas opportun de créer un précédent. Dans toutes les régions de France, les commerçants peuvent être touchés par des événements totalement indépendants de l'État et subir en conséquence une variation forte de leur activité. Je ne pense pas qu'il revienne nécessairement à la puissance publique de tout compenser ou corriger, en l'occurrence par voie budgétaire.
Cela dit, à situation exceptionnelle, réponse exceptionnelle. Je laisse le soin à Mme la secrétaire d'État de vous répondre et de vous donner son avis. Pour sa part, la commission s'en remet à la sagesse de l'Assemblée.