Vous-mêmes insistez sur la nécessité de ne pas laisser la Chine, par exemple, nous concurrencer dans ce domaine, alors qu'elle se trouve en situation de surcapacité, ce qui crée de grandes difficultés à notre industrie sidérurgiste. L'objectif serait-il d'affaiblir notre industrie, qui produit pourtant avec des conditions sociales et environnementales meilleures que celles de la Chine, en lui ouvrant le marché ?