Je remercie Mme la secrétaire d'État pour son avis de sagesse. Nous sommes conscients de la masse de travail que demande chaque rapport. Nous n'en demandons pas pour le plaisir d'en demander.
Un tel rapport permettrait d'avoir une vision plus claire, car les informations existantes sont dispersées. Votre proposition de benchmarking, monsieur le rapporteur spécial, est intéressante – j'ai commencé à faire ce travail pour l'Italie, par exemple. Il est difficile de trouver les informations ; il faudra aussi travailler ensemble sur la Chine.