La garantie, c'est le tiers de confiance. Je crois beaucoup à la parole donnée, mais la confiance n'exclut pas le contrôle et une grande confiance n'exclut pas une petite méfiance, comme disait récemment un ancien Premier ministre. Nous avons donc mis en place une contractualisation avec trois documents. L'un est remis au militaire, un autre à son chef, qui est appelé à changer, et le dernier à l'inspecteur général des armées gendarmerie (IGAG), garant de l'exécution du contrat. Le gendarme a la garantie institutionnelle de la réalisation et du respect de la parole donnée et de l'écrit.