J'approuve la rapporteure sur ce dernier point, conformément aux conclusions de la mission d'information sur la LOLF que nous avons menée avec le président Éric Woerth et le rapporteur général Joël Giraud : les parlementaires manquent cruellement d'une vision globale des participations financières de l'État, incluant les dividendes et le réemploi.
Au-delà des motivations politiques de l'amendement de la rapporteure spéciale, il serait intéressant d'interroger le Gouvernement en séance sur le fonds industrie et innovation, qui soulève des questions au sens de la LOLF. C'est typiquement ce qu'il ne faut pas faire pour que nous, parlementaires, puissions le contrôler et en piloter la dépense.