Je salue l'augmentation de 13 % des crédits du programme Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations au travail. En effet, la première injustice sociale, c'est celle du chômage. La baisse régulière de son taux, l'augmentation significative du nombre de CDI, l'affluence des jeunes en apprentissage, le retour à l'emploi pour tous participent de la réduction des inégalités.
L'entreprise est un lieu d'émancipation et d'épanouissement et c'est en cela qu'elle fait sens. Le climat social en son sein repose sur la reconnaissance. La codétermination prévue dans la loi relative à la croissance et la transformation des entreprises (« PACTE ») mais, aussi, soutenue par l'OIT dès 2016, en est l'un des piliers.
Quelles mesures envisagez-vous de proposer, à travers le programme 111, pour renforcer cette codétermination à travers le seuil de représentation des employés dans l'entreprise, en particulier, dans les TPE et PME, et afin de favoriser le dialogue social ?