Il serait un peu réducteur, monsieur Simian, de dire que transports et développement durable n'ont pas de relation l'un avec l'autre. Aussi sommes-nous effectivement deux au banc, avec M. le secrétaire d'État chargé des transports, et nous succédons-nous – de façon harmonieuse, me semble-t-il – pour cette discussion. Car on ne peut à la fois isoler la partie relative aux transports – avec le programme 203 « Infrastructures et services de transport », le programme 205 « Affaires maritimes » et le compte d'affection spéciale correspondant – et conserver l'unité de la mission, portant à la fois sur l'écologie, les transports, la mobilité durable et l'énergie. Celle-ci me paraissant se trouver à un bon point d'équilibre, j'émets un avis défavorable à votre amendement.