Ces dernières années, en effet, quelle que soit la majorité concernée, le ministère de l'environnement a subi une baisse d'effectifs supérieure à celle qui a touché les autres, tandis que ses satellites et les agences dépendant de lui subissaient des baisses supplémentaires, comme cela a été le cas pour les parcs nationaux. Au moment de la création d'un parc supplémentaire et afin de soutenir la ministre et les membres de ce gouvernement qui sont attachés à l'écologie, nous avons estimé à l'unanimité, notamment en commission du développement durable – il ne s'agit là ni d'un égarement, ni d'un vote obtenu à la faveur de l'absence de certains commissaires – , qu'il n'était plus possible de réduire le nombre d'ETP.