J'appelle à mon tour votre attention, madame la secrétaire d'État, sur la question de l'entretien des digues domaniales, en particulier dans le bassin de la Loire. La Loire, je le rappelle, est longue de plus de 1 000 kilomètres. Une crue générale de ce fleuve est considérée comme le deuxième risque naturel majeur existant pour le territoire métropolitain. Or il est clair que les EPCI n'auront pas les moyens d'entretenir les digues domaniales une fois les compétences transférées.
Votre réponse, madame la secrétaire d'État, est donc de nature à nous rassurer, mais il faudra veiller, pour éviter des catastrophes, à ce que les financements soient assurés avant et après ce transfert.