La tartufferie de M. Bourlanges est étonnante. Comment oser nous faire des procès en sorcellerie de manque d'humanité, alors que par votre politique, vous êtes responsable de souffrances, de noyades en Méditerranée, alors que vous avez pratiqué la politique de l'autruche depuis tant d'années et que vous êtes toujours dans la même ? Vous devriez vous interroger.
Monsieur Clément, vous faites des choix budgétaires, et je vois que vous privilégiez toujours une immigration folle au détriment de nos concitoyens, qu'ils soient français ou étrangers. C'est une réalité que vous ne voulez pas accepter.
Enfin, nous pourrions avoir un débat avec des désaccords, mais à partir de faits, notamment sur la question de l'aide au développement, car la vraie question, vous le savez tous, c'est le doublement de la population africaine dans les trente ans qui viennent, qui pose à toute l'Europe un problème géopolitique considérable. Mais là encore, vous pratiquez la politique de l'autruche, la tête dans le sable. C'est une folie. À vos réactions aujourd'hui – les Français le verront car nos débats sont télévisés –, je m'inquiète de la suite, car cela veut dire que vous n'êtes même pas capable de voir le problème. On peut être en désaccord sur les solutions, mais arrêtons de nous envoyer à la figure des leçons d'humanité !