Nous avons encore tous en tête l'exemple de cette mère de djihadiste, jugée en septembre dernier pour avoir envoyé de l'argent à son fils en Syrie.
Il est parfaitement inadmissible que l'épouse d'un djihadiste, qui reste sur notre sol alors que son mari part rejoindre les lignes de l'État islamique, continue à percevoir des allocations. Si ces femmes désapprouvent leurs maris, qu'elles divorcent !
Et que dire lorsque la presse nous apprend que 20 % des combattants islamistes français profitent des allocations sociales en France ? On y lit : « Munis de leurs cartes avec photos, des parents percevaient les fonds venant de Pôle emploi ou de la caisse d'allocations familiales avant de les envoyer par mandat en direction des zones de combats ».