Cela se voit et cela se traduit forcément par des réactions. C'est ce qui se passe notamment à Chanteloup. Lorsque nous décidons de dédoubler les classes, de recruter des policiers, de doubler le budget de l'ANRU – ce que certains n'avaient pas fait – , nous donnons aux élus locaux les moyens de penser le développement de leur commune, d'essayer de construire des solutions adaptées à leur territoire, pour éviter que des zones de non-droit ne prévalent et ne se développent. C'est un combat de tous les instants. Nous sommes déterminés à le livrer. Pas l'État tout seul, …