Avec les 380 millions que la FDJ versera d'ici à juin 2020 en contrepartie de l'octroi des droits exclusifs pour exploiter les jeux de loterie et les paris sportifs pendant une durée de vingt-cinq ans, l'État peut espérer récupérer environ 2 milliards de la privatisation : c'est une goutte d'eau dans l'immensité de la dette !
La Française des jeux, monsieur le ministre, n'est pas une entreprise comme les autres et le jeu n'est pas une marchandise comme les autres. Pourquoi vous entêtez-vous à vouloir la privatiser ?