Pourtant, de nombreux enfants ne bénéficient pas de l'accompagnement adapté à leurs besoins. Les familles vivent cette situation comme un abandon de la part de l'institution, dont le rôle est de protéger et d'accompagner.
Pourtant, les accompagnants d'élèves en situation de handicap, les AESH, sont encore trop peu nombreux, mal rémunérés, voire rémunérés avec retard.
Ce n'est pas acceptable ! Comment peut-on se satisfaire de cette situation ?
En octobre 2018, la majorité a rejeté une proposition de loi du groupe Les Républicains, présentée par mon collègue Aurélien Pradié, relative à l'inclusion des élèves en situation de handicap. Ce texte prévoyait notamment un statut unique d'aidant à l'inclusion scolaire, mieux rémunéré, pour les auxiliaires de vie scolaire et les accompagnants d'élèves en situation de handicap.
Aussi, monsieur le Premier ministre, que proposez-vous pour améliorer concrètement la situation, pour une meilleure inclusion des élèves en situation de handicap ?