S'il s'agit d'ouvrir un débat sur la préférence nationale, monsieur le rapporteur, nous sommes prêts, prêts à faire valoir nos arguments et à confronter nos positions. Quant aux excès de M. Coquerel, bien connus dans cet hémicycle, je n'y répondrai pas – ils font suffisamment sourire la représentation nationale chaque semaine pour que l'on n'y accorde pas plus d'importance.