La question que vous posez est fondamentale. Aussi bien pour le SNU que pour la pratique du sport à l'école, notamment dans le premier degré, l'intervention des associations soulève la question du partage du temps scolaire. Si nous voulons vraiment donner une cohérence au SNU, au monde associatif sportif et à l'école, nous devons parvenir à travailler encore plus ensemble, avec M. Jean-Michel Blanquer, sur la distinction entre éducation formelle et éducation informelle, en mettant l'enfant au centre. Plutôt que de répartir ces temps en reléguant le SNU ou le sport aux petites ou aux grandes vacances scolaires, ne serait-il pas plus judicieux de les mélanger afin de gagner en cohérence au bénéfice de tous les acteurs ?