Il faut changer de doctrine, il faut réaugmenter les moyens, et pas de manière homéopathique comme vous le faites actuellement. Nous devons tous nous retrouver pour faire de la sécurité une priorité nationale. Or pour ce faire, nous avons besoin d'une loi de programmation. Vous nous dites qu'elle ne sera pas votée au cours de ce quinquennat ; il s'agit d'une faute, et d'une faute lourde.