Je serai très rapide parce que je l'ai déjà défendu tout à l'heure. Il vise à permettre à tout jeune ayant atteint l'âge de quatorze ans d'effectuer, sur la base du volontariat, une demi-journée de prévention dans un centre de rééducation qui accueille des victimes d'accident de la circulation. Contrairement à ce qu'a dit Mme la rapporteure spéciale, la pédagogie par l'exemple a fait ses preuves. Quand vous discutez avec des adolescents qui ont été confrontés à de grands accidentés de la route, ils ne sont pas traumatisés mais se montrent bien plus conscients qu'auparavant des risques qu'ils encourent sur la route. Croyez-moi, ils ne se mettent plus en danger de la même manière par la suite.