… puisque vous ne tarissez pas le flux. Pour ce faire, monsieur le secrétaire d'État, vous pourriez par exemple poursuivre la logique enclenchée à Bruxelles par le Président de la République, qui a dit non à l'ouverture de négociations avec l'Albanie et la Géorgie en vue d'un élargissement de l'Union européenne, en mettant fin à la libéralisation des visas. Vous verrez que vous n'aurez alors pas besoin d'augmenter votre budget ni de le rendre plus sincère.