Parce que j'ai lu les propos que vous avez tenus sur des sujets différents, qui me paraissaient refléter d'autres valeurs, j'imagine trop bien la boule au ventre que vous devez ressentir.
C'est avec peine, je l'avoue, que je répète ici, devant la représentation nationale, la phrase de Rousseau que j'ai eu l'occasion de citer quand lorsque nous examinions le projet de loi Asile et immigration, et que vous devriez sans doute rappeler au Président de la République lorsque vous le croisez : « La domination même est servile, quand elle tient à l'opinion ; car tu dépends des préjugés de ceux que tu gouvernes par les préjugés. »