Si vous ne la prenez pas, vous irez expliquer aux Français qui, alors qu'ils cotisent, n'arrivent pas à se soigner et voient régulièrement la liste des médicaments déremboursés s'allonger et les frais hospitaliers augmenter que, dans notre pays, quand on est clandestin et qu'on viole les lois, on bénéficie de la gratuité totale des soins.
Quant aux demandeurs d'asile dont la demande a été rejetée, ils bénéficient encore aujourd'hui de un an de soins gratuits, période que vous allez réduire à six mois. Mon Dieu ! Quelle fermeté…