J'aimerais souligner le travail réalisé par notre rapporteure spéciale, Véronique Louwagie, sur ce dossier. Sans ses alertes réitérées depuis deux ans et demi, le Gouvernement n'aurait peut-être pas agi. Un premier pas est accompli aujourd'hui. S'il faut le souligner, il convient aussi de rappeler qu'il découle du travail parlementaire réalisé en amont. À cet égard, il est important de rendre hommage à celle qui, la première, a abordé le scandale de la Dépakine.