Nous avons en effet doublé les crédits des OPMR afin de leur permettre de recueillir, dans chaque territoire d'outre-mer, les données permettant d'alimenter leurs rapports – pardon, madame Ramassamy – , lesquels nous permettront de mieux agir contre la vie chère. Nous avons cherché à associer les citoyens à leur fonctionnement, avec plus ou moins de succès selon les territoires. Je les invite donc à nouveau à participer plus activement à ce débat. Nous aurons d'ailleurs l'occasion d'y revenir, puisque l'évolution du statut des OPMR et la place qu'y occupent les citoyens relèvent du pouvoir législatif.
Les crédits sont donc bien là. Honnêtement, si, avec le financement dont ils disposent, les OMPR n'apportent pas les réponses que nous attendons tous d'eux, il faudra envisager leur suppression.