Je veux bien entendre qu'il s'agit d'une compétence des collectivités, chers collègues, mais imaginez que l'on vous dise qu'il n'y aura pas d'eau chez vous. Je ne suis pas sûr, dans ces conditions, que vous demanderiez que l'on me coupe la parole, comme vous semblez le faire. Je souhaite simplement que vous nous expliquiez, madame la ministre, comment nous pouvons faire en sorte que l'usine fonctionne rapidement, de façon à éviter d'assoiffer les Mahorais.