D'autre part, comme vient de le dire Boris Vallaud, les associations ont subi un choc avec la suppression des emplois aidés : elles n'avaient pas toutes des salariés à leur disposition pour accomplir un certain nombre de tâches, et elles ont donc souffert de cette décision. Dans mon territoire, par exemple, certaines ont eu beaucoup de mal à affronter les conséquences de cette mesure, qu'il s'agisse de centres sociaux, de clubs sportifs ou d'associations à but culturel.
Cette réalité, on ne peut pas la nier – mais je ne veux pas répéter ce que Boris Vallaud vient d'expliquer brillamment.