C'est un sujet important et, je le répète, extrêmement complexe ; nous ne savons pas bien calculer les risques chimiques. Il est néanmoins important que le Parlement soit informé sur la façon dont ces risques sont gérés. Notre objectif, dans les plans de santé publique successifs et la stratégie nationale de santé que nous déposerons en janvier prochain, n'est pas tant de compenser les maladies liées au risque chimique que d'arriver à les prévenir. Cette orientation nous semble très importante.
En tant qu'ancienne cancérologue, je ne peux donner qu'un avis de sagesse sur votre amendement, monsieur Dharréville.