Vous avez raison. C'est toute la difficulté de l'exercice lors de l'examen de la seconde partie du PLF, je l'ai dit : l'article 40 nous bloque.
Les deux amendements qui viennent d'être discutés illustrent les terribles contradictions entre les lignes et les actions. Je comprends leur philosophie : ce sont des appels à renforcer des actions au sein de ces programmes sans en « déshabiller » d'autres, mais il y a un risque à voter des amendements dont je pense, à titre personnel et au nom du groupe La République en marche, qu'il est préférable de les représenter en séance plutôt que d'en faire ceux de la commission. Le Gouvernement, lui, aura la possibilité de lever le gage.