Cet amendement va dans le bon sens en soulevant un problème de fond, celui des relations entre l'État central et les territoires à forte personnalité sociale, géographique ou culturelle.
Le groupe Libertés et territoires est favorable à une cogestion. Nous partons de loin. Il est très difficile de saisir les différences entre tel ou tel territoire en raison de la tradition française de l'État-nation, mais il faut évoluer. Nous enfonçons le clou depuis longtemps, que ce soit pour la Corse, les territoires ultramarins ou d'autres encore. Les lois doivent être adaptées, avec évidemment un contrôle central de l'État a posteriori.