Je prends acte de ce que vous me dites, mais je ne me laisserai pas enfermer dans une logorrhée administrative. J'ai vu ce qu'était la pollution en mer, ce que sont devenues les côtes de Corse et celles de Toscane, en face. Quand on a envie d'avancer, on trouve toujours les dispositions et les financements nécessaires. J'observe que, jusqu'à présent, le Gouvernement refuse obstinément d'entrer dans cette logique, qui est pourtant justifiée : 12 000 navires croisent dans un cadre géographique très étroit, entre le Cap Corse, l'Italie continentale et l'île d'Elbe, qui plus est en plein parc marin, au coeur d'un sanctuaire.