On incite le CEREMA à diversifier ses financements, ce qu'il s'efforce de faire, par exemple auprès des collectivités territoriales. Cependant, du fait de l'enjeu environnemental, il reçoit toujours plus de demandes. Le directeur de l'établissement a plus que joué le jeu en matière de gestion, et tire à présent la sonnette d'alarme. Le financement rappelé par Laurent Saint-Martin ne saurait masquer la gravité de la situation, alors que, je le répète, la dotation de l'État sera inférieure à la masse salariale. À un moment donné, lorsque le CEREMA ne sera plus là pour assurer des tâches indispensables, nous n'aurons que nos yeux pour pleurer.