Nous pourrions peut-être plafonner le nombre de rapports par an, ce qui permettrait de mieux les ventiler.
Par ailleurs, l'hydrogène est un sujet très intéressant, mais dans la mesure où il reste aujourd'hui une énergie chère, il devrait être analysé en complément des énergies électriques intermittentes qui ont leur propre coût et que nous subventionnons. La question des infrastructures doit aussi être analysée. La France n'a pas les moyens d'investir dans trois réseaux, l'un dédié au pétrole, l'autre à l'électricité et un autre encore à l'hydrogène. Il serait vraiment intéressant de comparer ce dernier aux autres solutions et de voir comment un minimum d'investissement pourrait offrir à notre système de transport un maximum de flexibilité.