Monsieur Aubert évoque un vrai problème. En Allemagne ou aux Pays-Bas, on met à peu près quatre à cinq ans pour faire naître un projet offshore, alors qu'en France, il faut une quinzaine d'années, du fait de la succession des recours possibles et faute de guichet unique. En outre, l'appel d'offres de départ est figé et ne laisse pas à la technique la possibilité d'évoluer.
La solution ne saurait cependant être de résilier les six projets qui ont déjà été lancés, parce que, dans la situation actuelle, cela voudrait dire qu'il faut recommencer à zéro.