Madame la ministre, vous avez apporté des précisions sur la manière dont il faudrait réviser le processus de négociation avec les États candidats. Au début de votre propos, vous avez dit que ces États avaient un destin européen. Je n'ai pas eu la réponse concernant le message livré à ces pays qui sont aujourd'hui découragés. Ils s'étaient engagés dans une dynamique, au prix de gros efforts, y compris politiques, en termes de situation interne. Qu'avez-vous à leur dire, afin qu'ils retrouvent confiance ?