C'est une décision européenne, sur laquelle il y a eu un accord avec un Président de la République qui avait pourtant une vision assez stricte des questions migratoires. Aujourd'hui, nous cherchons à nous assurer d'une meilleure coopération, d'une facilité de retour, afin que les laissez-passer consulaires soient délivrés dans les plus brefs délais. Nous avons notamment échangé avec nos partenaires allemands qui ont mis en place un système avec l'Albanie, dans des conditions assez similaires à ce que nous connaissons en France, depuis quelques mois. Cela fonctionne et nous sommes en train de travailler sur le fait d'éventuellement dupliquer ce système.