Qu'importe l'épaisseur du PLFR, ce n'est pas en vingt-quatre heures que nous pourrons y travailler. Ce n'est pas acceptable ! C'est pourquoi nous devons au moins demander – et obtenir – un délai de vingt-quatre heures supplémentaires. Demandons-le tous ensemble.
J'observe, au demeurant, un ras-le-bol généralisé quant au fait que le débat politique tourne entièrement autour des questions migratoires et de l'immigration. On ne parle que de cela et la matière budgétaire passe pratiquement à l'as. Si les temps de discussions sont plus réduits, attendons-nous à des coups de gueule dans l'hémicycle.