Le rapporteur général a absolument raison : on peut, parce qu'une maladie aura disparu, supprimer l'obligation d'un vaccin par décret. Il ne s'agit pas de soumettre des personnes ad vitam aeternam à des vaccins qui ne seraient pas utiles.
Quant au Collège national des généralistes enseignants, il s'agit d'une fraction du Collège de la médecine générale, lequel, comme quarante-neuf sociétés savantes ainsi que toutes les académies – de sciences, de médecine et de pharmacie – a signé un appel soutenant le Gouvernement.