D'une façon générale, les communes doivent avoir la liberté de mieux moduler leur politique en matière de taxes locales et de pouvoir « mordre » sur l'évolution du marché foncier. Il faut tenir compte de la situation particulière de certaines d'entre elles, en particulier en Corse, où le nombre de résidences secondaires excède très largement celui des résidences principales.