L'amendement vise à ce que dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants dotées d'un plan de mobilité approuvé, une taxe sur les déplacements effectués au moyen de véhicules terrestres à moteur, dénommée « tarif de transit », puisse être instituée, à titre expérimental et à la demande de l'autorité organisatrice de la mobilité. L'objectif est de limiter les nuisances associées au trafic de transit et d'inciter au report sur les axes de contournement prévus dans et en dehors de l'agglomération.
Je tiens à bien préciser qu'il ne s'agit pas d'un péage urbain. Cette tarification de transit ne touchera pas les habitants de l'agglomération, comme cela se fait à Londres, par exemple, mais ne concernera que le trafic de transit national et international.